18 November 2008

merde à la F1

Il paraît qu'on veut nous coller un nouveau circuit de F1 en Île-de-France, et qu'en plus ça pourrait être dans le Val-d'Oise. Je m'étonnais naguère que dans un pays hystériquement centralisé comme la France le circuit de F1 ne fût pas près de Paris. Eh ben je vois qu'on court réparer l'erreur.
Les Verts du Val-d'Oise sont
fermement opposés à toute construction d'un circuit de formule 1 dans le Val-d'Oise. Les terrains évoqués sont agricoles et ont vocation à satisfaire plus utilement aux besoins de la collectivité, selon les prescriptions du Schéma directeur de la région Ile-de-France (SDRIF) qui a été voté en septembre dernier. Nous nous opposons à leur destruction. Et, en cette période de crise pétrolière, climatique, financière et de chute du pouvoir d'achat, il nous paraît indécent de proposer de tels projets qui en outre génèrent de nombreuses nuisances, insupportables pour les populations.
Très bien. Je ne l'aurais pas dit aussi poliment, mais très bien. Reste à voir s'ils ne vont pas se coucher (comme d'hab) devant ces suce-boules de socialos, mégalos et productivistes.

17 November 2008

los piratas de la mar mediterranèa


Un imatge amusant per quicòm, ailàs, pas brica amusant de legir sul sit de Greenpeace.

13 November 2008

la mòrt inexorabla de la lenga?

Dins lo darrèr numèro d'Ousitanio Vivo, lo mitic Sergio Berardo entrevista a un aigardentaire de Coseran. Parlan mai que mai del mestièr d'aigardentaire e de la passion de l'òme per la musica dita tradicionala. A la fin de l'entrevista, en Sergio Berardo l'interròga sul sieu rapòrt a la lenga.
Vaquí l'extrait correspondent de l'entrevista:
Quello che mi fa paura in rapporto all'occitano è che nonostante sia parlato con schiacciante preponderanza in zone rurali diventi sempre più la lingua di circoli intellettuali-borghesi di città, circoli ristretti che ne hanno fatto una pratica di tendenza spesso staccata completamente da un sentire popolare. Si impara l'òc alla «fac» e si conversa col giro alla moda. Tutto ciò mentre in campagna, dove la lingua è vera, ricca e sincera, non esiste un forte rapporto tra la gente e l'occitanismo, non solo ma lo spopolamento e i nuovi insediamenti di persone non occitanofone le stanno infliggendo dei duri colpi. La lingua sta perdendo proprio dove era più parlata e non so se le «calandretas» e tutto il movimento scolastico potranno arrivare a qualcosa. Sono piuttosto pessimista.